Bendiab Abderrahmane.
Outre les dossiers de routine dans les affaires pénales habituelles, des événements inattendus ont eu lieu au long de cette semaine a la Cour d’Appel de Meknès. Après l’intervention de Mr. Bouziane Fahmy, Procureur Général du Roi de la Cour d’Appel de Meknès, dans une affaire, qui a fait le tour de nombreuse plateformes médiatiques et sociales dont les actualités belges, concernant une femme Marocaine de 43 ans et son ex-mari Belge de 57 ans, Marc.
Les détails de l’incident remontent au début de cette semaine lorsque la femme en question a contacté son avocate de la défense, Maître Hanane Tajouunt du Conseil du Barreau de Meknès, ayant porté plainte pour le viol brutal de ses trois enfants, dont deux proviennent d’un autre père, par son ex-mari Belge. Son avocate lui avait conseiller de retourner au Maroc et de porter plainte auprès de la justice Marocaine, selon la juridiction territoriale, en raison des crimes commis sur le territoire Marocain.
De peur d’être démasqué, après avoir harcelé son ex-femme Marocaine, l’inculpé Belge est apparu à Meknès accompagné de son avocat Belge sans aucun fondement juridique, aucune cooperation avec le Conseil du Barreau de Meknès, ou une autorité compétente. Cela a incité la plaignante à déposer une plainte auprès du Procureur Général du Roi de Meknès avec l’assistance de l’avocate de la défense, Maître Hanane Tajouunt, qui a fourni tous les documents, dossiers et preuves concluantes de l’implication de l’accusé dans les charges retenues contre lui.
Après de nombreuses investigations et enquêtes menées par les membres de la Police Judiciaire du commissariat de Sécurité Nationale de Wislan qui est affiliée a la Prefecture de la police de Meknès; le Procureur Général du Roi a remis au Juge d’instruction, de ce même tribunal, un cas d’arrestation concernant l’homme de 57 ans. Le Juge a, plus tard, placé l’inculpé en détention à Tulal II après le retrait de son passeport pour avoir commis les crimes suivants: détournement frauduleuse de mineurs de moins de 18 ans, viol sur mineurs menant à la défloration, et viol sur mineurs de moins de 8 ans.
La décision de Mr. Bouziane Fahmy et du Juge d’instruction, son Honneur Ben- Mansour, a été bien accueillie par de nombreuses associations et organisations intéressées par le bien-être de la communauté marocaine en Europe, ainsi que par celles qui suivent les affaires judiciaires à Meknès.